IL N’Y A PAS DE HASARD MAIS SEULEMENT DES SYNCHRONIES

Le combat des Amazones | Métamorphoses 0xB09FE203 © Éric Petr, 2o2o

« Mon travail est une réflexion sur ce qu’est la lumière ; il est une quête de son essence.

J’emprunte la lumière dans sa forme primitive en tant que matière première pour asseoir toute l’architecture de ma photographie. La lumière n’est pas utilisée dans ce qu’elle peut montrer ou éclairer ce qui nous entoure, mais seulement dans ce qu’elle est dans sa nature ondulatoire ou corpusculaire.

Je vais façonner de telle sorte que le filtrage, la réflexion ou l’éblouissement de celle-ci va redéfinir l’espace dans lequel je suis, pour proposer une autre perception du monde.

Je pose la question de ce que notre perception ne serait en fait qu’un placement de nous-mêmes par rapport à l’univers et par conséquent, notre propre compréhension de la réalité, ou plutôt d’une réalité.

Mon travail s’inscrit dans une recherche méditative et je me détache de toute introspection. J’aime l’idée d’être traversé par les atomes et me sentir si vaste que je me sens à la fois, partout dans le lieu et concentré sur un seul point, là où se trouve mon appareil photographique. Ce sont les poses longues qui vont enregistrer la vibration d’un lieu, sa résonance atomique ou son atmosphère indescriptible et comme un film dont le temps s’inscrit sur une seule image, l’histoire s’écrit selon la diction d’une scénographie et d’une gestuelle dont l’inspiration sera en accord avec les éléments du lieu.

Dans mon travail sur les « Métamorphoses », la lumière intervient de telle manière sur la réflexion des objets, que leur mise en scène in situ crée des figures, tels des corps en dilatation composés d’éthers flottant et se dessinant en volumes complexes et déstructurés que l’image au développement restitue comme une possible réalité.

Ces corps n’appartiennent ni au temps, ni à l’espace, ni à notre monde mais ils ne sont qu’agrégats de matière, d’ondes et de particules élémentaires en perpétuel mouvement pour venir percuter à un instant T mon négatif.

Mon écriture photographique est directe, c’est-à-dire qu’elle est en relation étroite avec la matière. Elle naît de la rencontre d’un instant fixé sur le fil de l’intemporalité entre l’être et l’univers. C’est ce que l’on pourrait nommer le trait d’union entre Ciel et Terre.

Il n’y a pas de de hasard mais seulement des synchronies. La rencontre avec DF Art Project est de cet ordre. Jamais, je n’aurais pensé qu’il y eût autant d’affinités.

Si cette belle rencontre avec le Déstructuralisme Figuratif s’est produite, c’est que tous les éléments étaient réunis pour que mon travail vienne apporter sa petite pierre à l’édifice. Puis DF Art Project est avant tout un regroupement d’individus autour d’une réflexion sociétale sur l’être et les infinies possibilités de transgresser sa forme par une fragmentation de la figure. Tout un pan de mon travail entre en consonance avec ce discours où les figures dilatées et en pleine expansion de mes images interrogent très justement sur la conceptualisation de cette forme et sur leur réalité quantique. »

par Éric Petr

À propos du Déstructuralisme Figuratif

La structure DF Art Project que représente le mouvement Déstructuralisme Figuratif, est un collectif d’artistes plasticiens vivants partageant une vision de l’art qui leur est commune et par laquelle le travail artistique s’oriente vers une fragmentation du réel, une mise en perspective de celui-ci par sa distorsion et/ou sa transformation dynamique.

Au travers cette conceptualisation, les artistes se positionnent face à l’individualité grandissante, l’abandon des échanges humains et le repli sur soi, dans une démarche introspective valorisant le questionnement, le multidimensionnel, l’irréel qui éclate et plus généralement la création de nouvelles interactions moins humaines et plus virtuelles.

Ces perceptions visent à révéler, dans une sorte de cri optimiste, une situation, sans doute générationnelle, d’une société globalisée en mutation face à un futur incertain, toujours changeant.

Par son témoignage artistique, DF Art Project défend une réflexion sociale où les réelles possibilités d’émancipation de l’homme, comme l’autonomie de son imaginaire, se redéfinissent.

https://df-artproject.com

ET LA LUMIÈRE FUT ! | LE QUOTIDIEN DE L’ART

Je suis heureux de partager avec vous ce très bel article de pleine page écrit par Alison Moss du Magazine LE QUOTIDIEN DE L’ART, paru ce mardi 6 décembre, sur mon travail et mon œuvre « Variations de Lumière opus 6 ».

Et la lumière fut !

Source originelle dont émanent toutes les choses, la lumière est aussi aux fondements des créations d’Éric Petr : « La lumière est un pinceau ; le papier, le capteur », résume-t-il. 

Son écriture photographique, réalisée à partir de poses longues, s’inspire de la visite de lieux « chargés d’énergie » – qu’il s’agisse d’un paysage naturel, d’un site archéologique, ou lié à la croyance – dont il cristallise les « vibrations silencieuses »

Présentée du 20 au 23 octobre au Salon des Réalités Nouvelles, rendez-vous consacré à l’abstraction et à ses différentes formes depuis 1946, sa série Variations de lumière op.6 (2022) a remporté le prix décerné par Le Quotidien de l’Art. 

Les clichés, datés d’il y a trois ans, ont été réalisés lors de sa visite à Okinawa, au Japon, dont il dévoile, en négatif, la lueur de la lune reflétée sur la mer. 

Préférant, de manière générale, ne pas révéler les sources d’inspiration de ses motifs abstraits, le photographe souhaite ainsi privilégier une rencontre purement émotionnelle avec l’œuvre. Car c’est justement celle-ci qui guide sa démarche : « Lorsque je me rends sur un site, j’essaye de rentrer dans un état méditatif, de me perdre, tout en restant à l’écoute de ce qui m’environne. Ce n’est que lorsque je perçois la puissance ou la magie de l’endroit, et l’émotion dont celui-ci est chargé, que j’ai envie de le photographier », confie-t-il.   

by ALISON MOSS
LE QUOTIDIEN DE L’ART

Éric Petr 
Variations de lumière op.6
2022, installation de 8 photographies
Octoptyque 54x64cm       

Cliquer sur l’image pour lire le texte dans le Magazine Le Quotidien de l’Art

PIERRE SOULAGES, LE MAÎTRE DE LA LUMIÈRE

zzb Hommage à Soulages 0xD861CD40 © Éric Petr
Hommage à Pierre Soulages 0xD861CD40 | Abbaye de Conques août 2022 © Éric Petr

Pierre Soulages a rejoint, ce mercredi 26 octobre 2022, l’infini petit, ce petit si grand qu’il est un monde à lui seul. Un monde où les particules élémentaires sont libres de leurs positions et de leurs vitesses. Un monde où la Lumière et les Trous Noirs sont les Maîtres d’un Paradis incommensurable à l’horizon immense, Laniakea !

Adieu, Pierre Soulages, que la paix soit en ton âme, si belle fût-elle en notre petit monde atrophié mais nous auras-tu, le temps d’un siècle, montré ce que la Lumière, ainsi révélée dans tes merveilleux « outrenoirs », est.

J’ai une immense pensée pour ce travail si beau qui m’inspira tant.

Merci infiniment, Pierre Soulages !

Voir l’image en grand

Pierre Soulages・8 minutes | LE MONDE

Découvrez ce documentaire sur l’artiste peintre Pierre Soulages. 
Comment faire de l’art avec du noir

Pierre Soulages à Conques : lumières sur un chef-d’œuvre | La Croix

Salués aujourd’hui comme un chef-d’œuvre, les vitraux de Pierre Soulages sont nés dans la douleur après huit ans de travail, des centaines d’essais de verres et une obstination sans faille pour surmonter les changements politiques et les réticences des habitants.
Sabine Gignoux, 2019

https://www.la-croix.com/Culture/Expositions/Pierre-Soulages-Conques-lumieres-chef-doeuvre-2019-12-13-1201066367

Abbaye de Conques | Vitraux Pierre Soulages © Éric Petr

VARIATIONS DE LUMIÈRE OPUS 6

Variations de Lumière opus 6 [27cmx127cm] – Éric Petr, 2022
Mon octoptyque Variations de Lumière opus 6 sera présenté aux Réalités Nouvelles 2022.


Cette année, les Réalités Nouvelles se dérouleront dans sept lieux différents à Paris du 20 au 23 octobre 2022.

Les deux lieux d’exposition principaux seront l’ESPACE COMMINES dans le 3e arrondissement et le RÉFECTOIRE DES CORDELIERS dans le 6e arrondissement.

À propos de mon œuvre exposée


LES RÉALITÉS NOUVELLES ET SON HISTOIRE

1946-47 : l’association dite « Salon des Réalités Nouvelles » se substitue à l’association « Abstraction-Création » (1931). C’est le Salon de l’Abstraction, animé par les artistes.
1956, puis 1980 : toutes les tendances de l’abstraction sont représentées au Salon, et jusqu’aux marges de l’abstraction.

Texte de Erik Levesque, issu de la Tribune 2022 des Réalités Nouvelles

La première exposition « Réalités Nouvelles » eut lieu en 1939 à Paris. Elle se composait de deux expositions successives, chacune scindée en deux séries. Première exposition et première série du 15 au 28 juin, « Œuvres des artistes français », avec la participation des frères Duchamp et du couple Delaunay. La seconde série du 30 juin au 15 juillet était consacrée « aux artistes étrangers » dont Kandinsky, Kupka, Malevitch, etc. accompagnée du projet de Le Corbusier et Jeanneret pour un musée d’art moderne. La deuxième exposition, du 17 au 31 juillet, était consacrée aux « œuvres des artistes dont la tendance inobjective s’est volontairement arrêtée avant 1920 » (avec Jean Crotti, beau-frère de Marcel Duchamp) et des « œuvres des artistes après 1920 » dont Barbara Hepworth, Jeanne Kosnick-Kloss, Sophie Taeuber-Arp… La suite, constituée d’artistes « ayant travaillé après 1920 dans ce sens », devait avoir lieu le 1er octobre. La déclaration de guerre le 1er septembre lui fit faire long feu. Suzanne Duchamp, la sœur des frères du même nom et épouse de Jean Crotti, participait à la naissance du Salon des Réalités Nouvelles en 1946, et le clan Duchamp était enfin au complet !… Lire la suite de la Tribune

Veuillez cliquez sur chacune des images pour les télécharger👇

Blog Éric Petr
Blog Éric Petr

MES MÉTAMORPHOSES | EXPO DF ART PROJECT 2022

J’ai l’honneur de montrer actuellement un récent travail à l’exposition de DF ART PROJECT au Parc Floral à PARIS du 01.10 au 10.10.22.

Le Vernissage fut un succès et a bénéficié d’une grande audience grâce à la situation géographique du lieu qui accueille les visiteurs venus au Parc Floral et d’une communication largement relayée mais aussi à la qualité des œuvres exposées.

Le DÉSTRUCTURALISME FIGURATIF expose une soixantaine d’artistes plasticiens travaillant autour de la fragmentation de la figure et réunit plusieurs médiums ; peinture, sculpture, photographie, dessin, collage, art numérique, performance et installation.

Vous pouvez venir jusqu’au lundi 10 octobre au Pavillon 18 dans la bambouseraie du Parc Floral.
Dimanche 9 octobre à 18h30 nous vous accueillons pour un FINISSAGE avec une performance de Anne Sophie LANCELIN.

Lien Google Maps : https://goo.gl/maps/Dt1kJa6aMQTBFMDw8

Les photographies que je présente sont issues de mon travail « Métamorphoses ».
En voici la description selon l’ordre du diaporama.

  • « L’apparition de Zeus » 2o21 | Photographie Nikon F3T, Nikkor Q135mm & Film Ilford 50iso
  • « La Vierge et le Démon » 2o19 | Photographie non remaniée Nikon Df, Objectif 50mm
  • « La Bête et la Belle » 2o22 | Photographie non remaniée Nikon Df, Objectif 50mm
  • « Le cri du Monde » 2o22 | Photographie non remaniée Nikon Df, Objectif 50mm
  • « Le combat des Amazones » 2o19 | Photographie non remaniée Nikon Df, Nikkor Q135mm

Les photographies sont tirées en 3 exemplaires avec une Épreuve d’Artiste. Veuillez me contacter si vous êtes intéressé(e). Merci 🙂

Blog Éric Petr

QUAND LA PHOTOGRAPHIE NUMÉRIQUE A SUCCÉDÉ À L’ARGENTIQUE

Dans les années 2000, j’ai repris mon activité photographique, après avoir fait une pause de 10 ans tout en continuant une réflexion sur l’image, mais en essayant d’exploiter cette fois-ci l’image avec les outils HyperText Markup Language, pour faire simple, le langage HTML. 

À l’époque, la qualité du numérique ne permettait pas de penser des projets sur des grands tirages. Les appareils du début des années 2000, ne proposaient pas grand chose au dessus de 10 ou 12 millions de pixels et souvent pour les appareils les plus sophistiqués. Qui plus est, le traitement de l’information, la qualité des capteurs et la réactivité des appareils étaient très en deçà de ce qui existe aujourd’hui sur le marché et bien entendu de l’argentique. 

Il faudra attendre les années 2010 pour que la technologie numérique se démocratise et propose une alternative convenable à celle de l’argentIque. 

Durant toute cette décennie, je me suis donc orienté vers des projets dont le support n’était pas le papier mais la feuille Internet qui dispose d’une surface infinie et à partir de laquelle on peut concevoir un rapport au cadre et à la photographie totalement nouveau.

Parmi de nombreuses expériences, le projet TrAveRséE2nUiT réalisé en 2004 fait partie de mes réflexions sur la photographie où l’image est libre de tout cadre, ou presque. Seuls, son propre cadrage et sa disposition à l’intérieur de cette feuille numérique sans fin (mais avec un départ tout de même), constituent les vecteurs qui orientent le regard et l’attention du lecteur.

TrAveRséE2nUiT porte une réflexion sur ce passage de l’ère de l’argentique à celle du numérique. Une traversée où toute une industrie technologique, photographes, tireurs, éditeurs et galeries, disparaît au dépens d’un autre système qui relève, lui, d’une technologie plus moderne et plus accessible à tous mais comportant encore de nombreuses imperfections. Ce que l’on pourrait appeler une période de chaos où chacun doit résister, composer, changer et évoluer dans ce terrible tsunami technologique.

TrAveRséE2nUiT est un plan film de 36 vues de 28 Mpx (768x1024x36 pixels), révélant l’image moderne de la photographie.

Préférez, pour visualiser cette Traversée de Nuit, une lecture en plein écran.

Bonne voyage !!!

Blog Pozekafee Traversée de Nuit 2004
http://www.pozekafee.net/eric.petr/traversee2nuit/


Voir TrAveRséE2nUiT : http://www.pozekafee.net/eric.petr/traversee2nuit/

ÉRIC PETR, UNE SINGULARITÉ QUANTIQUE

Image issue de « h2o-Ray_47Ag » © Éric Petr

Éric PETR, une singularité quantique

Éric PETR s’est toujours passionné depuis sa tendre enfance pour la photographie. 

C’est avec ce médium qu’il s’exprime aujourd’hui en tant qu’artiste photographe avec une singularité qui lui est propre.

Né en Provence dans les années 60, Marseillais de cœur et de formation autodidacte, il se consacre pleinement depuis 2013 à la création d’œuvres photographiques à travers lesquelles il porte une réflexion sur l’essence de la lumière.

Habité depuis tout petit par la question de ce qui a précédé la création de l’univers, il interroge sans cesse la lumière, en ce que les particules élémentaires (photons) qui la composent, à la fois onde et/ou corpuscules, pourraient véhiculer à travers l’espace-temps des informations qui contiendraient toute l’histoire de notre univers et par conséquent notre mémoire inconsciente et collective.

La technique photographique très particulière qu’il utilise, met en lumière l’idée que notre observation imposerait certaines limites à notre perception de la réalité. Ce qui induit par-là que notre perception se trouverait augmentée par notre capacité à ressentir cette réalité indicible. Pour PETR, ce serait la pratique d’un Aikidō exigeant qui lui aurait donné cet accès à une certaine compréhension de l’univers, ce qu’il traduit dans ses propres images.

Ses travaux, Variations de Lumière, Métamorphoses, Hikari, sont autant de compositions qui empruntent la lumière comme une matière première.
Tel un chercheur, Éric PETR utilise un idiome poétique nouveau, pour réinterpréter à sa manière la physique quantique.

© Maria Héméré

EXPO DE PLASTICIENS LE BLOC POITIERS | 14 MAI 2022

Une exposition d’artistes plasticiens organisée par DF Art Project et Le Bloc se tiendra prochainement à Poitiers du 14 mai au 5 juin 2022 avec pour invité d’honneur l’artiste Claude A. Thibaud et à laquelle j’ai le grand plaisir de participer.

LE BLOC
19 rue Saint Grégoire
86000 Poitiers
le-bloc-art.fr 

Le Bloc est un espace dont la mission première est de programmer des œuvres ou des dispositifs placés sous le signe de l’expérimentation. Le Bloc se veut dédié à la valorisation précieuse des rencontres entre spectateurs.trices et processus de travail, entre spectateurs.trices, performeurs.euses et artistes, pour mieux vivre ensemble des expériences sensorielles et esthétiques uniques.

DF ART PROJECT
df-artproject.com

DF ART PROJECT est un collectif artistique international rassemblant des artistes plasticiens vivants, émergents et reconnus, qui partagent une vision commune de leur art. Elle consiste en une fragmentation du réel, sa mise en perspective, sa distorsion et/ou sa transformation dynamique. 

Les artistes du DF ART PROJECT se positionnent, face à l’individualité grandissante, l’abandon des échanges humains et le repli sur soi, dans une démarche introspective valorisant le questionnement, le multidimensionnel, l’irréel qui éclate et plus généralement la création de nouvelles interactions moins humaines et plus virtuelles. 

Ces perceptions visent à révéler, dans une sorte de cri optimiste, une situation, sans doute générationnelle, d’une société globalisée en mutation face à un futur incertain, toujours changeant. 

Par son témoignage artistique, DF ART PROJECT défend une réflexion sociale où les réelles possibilités d’émancipation de l’homme comme l’autonomie de son imaginaire se redéfinissent.

Métamorphoses 0x87D6203 © Éric Petr

À propos de mon travail exposé 

Métamorphoses, ce sont des corps en dilatation tels des éthers flottant, qui se dessinent en de volumes complexes et déstructurés que l’image restitue au regard comme une possible réalité. Des corps qui n’appartiennent ni au temps, ni à l’espace, ni à notre monde mais qui ne sont qu’agrégats de matière, d’ondes et de particules élémentaires en perpétuel mouvement, pour se figer à un instant T sur mon négatif ou mon capteur. Métamorphoses, serait une photographie de l’expansion de l’univers, à un point précis de sa trajectoire, où des spectres prendraient des formes aléatoires et reconnaissables contenant la mnémique du cosmos.

SOIRÉE PRIVÉE DF ART PROJECT

© Df Art Project

Exposition Virtuelle de Df Art Project

J’ai le plaisir de vous inviter à cet événement exceptionnel !Venez découvrir, jeudi 17 mars, la première exposition virtuelle du collectif Déstructuralisme Figuratif Art Project. Vous serez immergé(e) dans une galerie d’art en présence des artistes. Vous pourrez faire leur connaissance et discuter avec eux.
Une expérience magique à la frontière de l’ART et du VIRTUEL que vous vivrez avec une fluidité et une définition de l’image incroyables. Préparez votre coupe de champagne, installez-vous confortablement dans votre canapé, entrez dans la galerie virtuelle, revêtez votre avatar, réglez votre micro et votre caméra (ou demeurez anonyme), dirigez-vous au gré de votre curiosité dans la galerie et soyez assuré(e) d’une soirée inoubliable !

DF ART PROJECT
Virtual exhibition
15 mars 〜 15 avril 2022

Vernissage, JEUDI 17 MARS /// 18h 〜 21h

Lieu d’exposition :  https://hub.link/upHnud8

Pour une meilleure expérience nous vous conseillons d’utiliser un ordinateur, un PC portable ou un casque VR 😎

Artistes présents :
Adrien Conrad @adrienconrad
Alexandre Woelffel @alexandre_woelffel
Alixire @alixireartiste
Bruno Delzou @brnodelzou
Claude André Thibaud @claudeandrethibaud
Dominique Laude @dominiquelaude
Emily Helstoffer @emilyhelstroffer
Eric Petr @petr.eric
Franck Turzo @turzofranck
Jérôme Royer @jeroy94
Joyce Polance @joycepolance
Ludivine Gabay @ludivine_gabay_collagiste
Mehnoush Modonpour @mehnoush.modonpour
Michel Marrant
Ronnie Jiang @jiang_ronnie

Organisateurs de l’exposition virtuelle : Adrien Conrad et Jérôme Royer
Scénographie : Jérôme Royer

ŒUVRES CONTEMPORAINES EN CADRES ANCIENS

[0x18CBA3] Metamorphoses © Éric Petr

Œuvres d’art contemporaines encadrées dans des cadres antiques

Certaines de mes œuvres photographiques sont destinées à être encadrées dans des cadres anciens. J’aime associer la valeur intemporelle de mes œuvres à un moment de l’histoire que le cadre évoque.

Par exemple, cette photographie a été prise dans la Cathédrale du Bon Pasteur à San Sebastian, en Espagne.

Lorsque je prends des photos dans des lieux spirituels, je vois souvent des anges ou des créatures mythiques apparaître dans mes images. Les longs temps de pose permettent à l’invisible de s’enregistrer sur les pellicules de mes appareils photo.

Par exemple, sur cette photographie, un Phénix vole dans les airs.
Le Phénix est un oiseau de la mythologie grecque qui par sa puissance renaît de ses cendres après avoir été consumé par les flammes. Il symbolise les cycles qui rythment la vie, la mort et la résurrection. On l’appelle aussi l’oiseau de feu.

Titre : [0x18CBA3] Métamorphoses, 2012
Édition : Limited Edition #1 of 3  (+ 1 AP)
Papier : Hahnemühle Glossy Fine Art Baryta Satin 300g
Taille de l’image imprimée : 9x14cm

Cadre antique : Napoleon 3 (19th century) porte photo ancien avec un verre biseauté d’époque et un très joli ruban en laiton (9x16cm x2cm 264g) 
Dans cette photo, un Phénix vole dans les airs ♪ (‘θ `) ノ ☆☆ 〜

French Antique & Art gallery

C’est une galerie et boutique d’antiquités française sur le site Etsy qui propose une sélection de mes œuvres photographiques présentées dans de très beaux cadres anciens. Etsy garantit la transaction et la qualité des boutiques qu’il héberge et dont il tire également sa réputation de premier site marchand mondial de petits créateurs et artisans.