un livre d’Éric PETR aux Éditions Corridor Éléphant
À Fleur de Lumière est une monographie publiée en édition limitée, numérotée, signée par l’artiste et certifiée par un cachet à froid de la maison d’édition Corridor Éléphant.
Son financement participatif s’effectue par pré-achat sur HelloAsso.com, une entreprise solidaire d’utilité sociale française créée en 2009. HelloAsso permet, pour tout don effectué ou l’achat d’une photographie de ce livre, de bénéficier d’une déduction fiscale de 66%.
Le guide de contribution du livre, pas à pas : PDF
À PROPOS DU LIVRE
Ce livre sera imprimé en janvier 2026, et expédié début février. L’impression sera réalisée sur un papier semi-mat de 170 g, avec une couverture souple de 400 g, pelliculée mate. Un format 21×15 cm, avec une ouverture en paysage, a été choisi pour accueillir, avec un maintien agréable, les 152 pages et les 108 photographies présentées par l’auteur.
L’ouvrage offre un aperçu de quatre décennies de recherche photographique et je suis heureux de les partager avec vous par le biais de cette très belle édition.
Le mot de l’éditeur
La photographie d’Éric Petr n’est ni une photographie attendue, ni la photographie telle qu’on l’entend. Elle se défie du sens, se moque des règles, se joue des ombres. Elle ne raconte rien ou si peu. Elle ridiculise les phrases trop longues, les descriptions qui s’égarent, les variantes qui se confondent. Elle montre ce que l’on n’ose regarder : le temps. Et avec lui, la multitude des dimensions qui l’entrecroisent. Le travail d’Éric Petr ne montre pas, il saisit. Davantage que des figures géométriques ou des trainées de lumières qui se superposent, l’artiste fige cet invisible tangible, cet « abstrait, constant et présent ».
Exposition « Spirituelles Odyssées » pour l’ouverture de l’Atelier de La Grande Vitrine à Arles le 30 sept. 2025
Éric Petr a une relation dynamique à la lumière
La subtilité de ses prises de vues provoque une sorte d’intensité dramatique à la fois intangible et impalpable qui apportent à l’image à la fois du mystère et de l’étrangeté, comme un éclairage spirituel qui émerge de la nuit des temps.
Il traite l’apparition comme un espace intérieur et met au défi le spectateur de produire les efforts nécessaires pour la saisir.
La sensation immatérielle de ses images nous renvoie à un espace infini sans repères spatiaux ou temporels qui, comme ses apparitions, produisent une expérience perceptuelle qui nous envahit.
Il matérialise une distorsion du temps qui traverse l’espace, un rayonnement émanant et une sensation de transcendance.
Ses expérimentations interrogent le conditionnement du regard à la forme, l’approche au réel autant qu’à l’abstraction.
Ana Sartori
Texte présenté pour l’exposition « Spirituelles Odyssées » lors de l’ouverture de l’Atelier de La Grande Vitrine à Arles le 30 septembre 2025.
Un lieu de diffusion culturelle et de création dédié à l’ART avec une programmation pluridisciplinaire, un espace d’échanges et de transmission.
À l’occasion de cet événement, j’aurai le plaisir de vous présenter, conjointement avec l’Atelier de La Grande Vitrine, une monographie À Fleur de Lumière en édition limitée. Une invitation à souscrire, en avant-première, aux premiers exemplaires de cet ouvrage et à participer aux fondations de cette édition.
La photographie ne se réduit pas à l’acte de prise de vue
Lorsqu’elle est exposée, éditée ou publiée, elle porte derrière elle un long travail, beaucoup de passion et un véritable investissement humain, temporel et financier.
Si la photographie existe, c’est aussi grâce à celles et ceux qui la soutiennent : amateurs, passionnés, collectionneurs, professionnels, mais aussi les photographes et artistes eux-mêmes qui la défendent au quotidien.
Cependant, pour que toutes ces belles images que l’on découvre gratuitement sur les réseaux sociaux puissent continuer à exister, il est essentiel d’apporter un soutien, à sa manière, aux photographes. Acheter une carte postale, un livre, une petite photo en édition limitée ou encore une œuvre d’art selon ses moyens, c’est contribuer à la survie de la photographie d’art dans un monde où l’on s’habitue à « voir sans payer ».
Il n’y a pas de petite contribution : même 5 euros investis dans une édition participative pour encourager un artiste constituent déjà un geste fort et engagé.
Je vous remercie sincèrement, vous qui avez acheté ou investi 5 euros dans mon livre SPIRITUELLES ODYSSÉES, paru en février 2017 aux Éditions Corridor Éléphant introduit par un magnifique texte de Jean-Paul Gavard-Perret de sept pages.
Votre soutien m’a profondément aidé et accompagné dans mon parcours de photographe émergent. Merci !!!
À propos de la monographie SPIRITUELLES ODYSSÉES
Cliquez sur l’image pour l’agrandir et faciliter la lecture du texte
Il y a encore quelques exemplaires disponibles, avant la fin définitive du stock. Les achats sont possibles directement sur mon site, au prix de 42 €
J’ai le plaisir de proposer des photographies emblématiques en édition limitée de mon récit photographique AMOUR, capté dans la nuit profonde de la Sainte-Baume lors de la procession de Noël.
Ces image, entre abstraction et impressionnisme, témoignent de l’énergie collective d’un moment de foi et de silence, où les corps en marche se fondent dans les ombres et les lumières de la forêt.
Vous pouvez acquérir ces photographies sur ma galerie officielle hébergée par Artmajeur Gallery, une plateforme internationale dédiée à l’art contemporain.
Parmi celles-ci, je propose aujourd’hui cette œuvre qui est vendue sans encadrement, pour laisser à chacun la liberté de l’intégrer dans son propre espace, selon son goût et sa sensibilité. Le tirage est réalisé sur papier d’art de haute qualité, fidèle à ma démarche artistique : respect de la matière, de la lumière et du moment capté.
Arc-en-Ciel 0xD81EFD44 (2022) | Impression sur Dibond (60x90cm) #5/5 ー [cliquez pour voir l’image] ー
ー Dialogues sur l’art abstrait ー Hors les Murs ]RN structure[
Ce 5 juillet 2025 aurait dû être le vernissage de l’exposition Hors les Murs de ]RN structure[ à l’« Espaço Cultural Niterói », dans le somptueux Palácio dos Correios surplombant la baie de Rio de Janeiro.
Malheureusement, en raison de complications administratives, dépassant même les motivations les plus sincères, ce projet a dû être annulé malgré l’enthousiasme, la persévérance et la ténacité déployés pour mener à bien une exposition aussi merveilleuse que prestigieuse.
Quand les rouages de la bureaucratie ne vibrent pas à l’unisson avec la noble idée que l’art ne connaît pas de frontières, on atteint ce que j’appellerais une forme de sclérose étatique.
Nous aurions dû être 51 artistes plasticiens des Réalités Nouvelles à exposer du 5 juillet au 16 août 2025 au Brésil, face au Christ Rédempteur, autour du thème inspirant : « Dialogues sur l’art abstrait ». Mais il en a été autrement.
Je suis toutefois heureux de partager avec vous les deux œuvres photographiques que j’avais préparées pour cette exposition, et qui n’ont pas pu elles non plus franchir les frontières.
Elles ont désormais rejoint la galerie Artmajeur, et je vous invite à les découvrir en détail en cliquant sur chaque image. Artmajeur gallery | Éric Petr
Je vous souhaite un magnifique été ou hiver pour vous qui habitez dans l’hémisphère sud.
Abstract Angel 0x3866AD02 (2024) | Impression sur Dibond (23x15cm) #1/5 ー [cliquez pour voir l’image] ー
Espaço Cultural Correios Niterói
Situé au cœur de Niterói, face à la baie de Rio de Janeiro, l’Espace Culturel Correios est l’un des lieux emblématiques de la scène artistique brésilienne.
Dédié à la promotion de la création contemporaine, cet espace soutient activement les artistes émergents et confirmés, tant locaux qu’internationaux. Il s’inscrit dans une dynamique d’ouverture, de dialogue interculturel et de diffusion des arts visuels sous toutes leurs formes.
En accueillant des expositions ambitieuses, des résidences et des projets hors les murs, le Centro Cultural dos Correios affirme son engagement en faveur d’une culture vivante, accessible et tournée vers l’avenir.
Je ne suis pas un photographe spécialiste de l’URBEX (Urban Exploration / Exploration Urbaine) mais je peux être attiré par certains sites où je ressens une énergie hors du commun et qui me pousse en ce cas à l’enregistrer pour en extraire visuellement sa trace, sa mémoire ou sa présence.
Je vais présenter ici deux récits photographiques dont l’un fut réalisé au fond de l’île de Koh Chang en Thaïlande, et l’autre, à Hashima, une île de Nagasaki au Japon.
Koh Chang, l’île aux éléphants et son Bateau Fantôme
Il s’agit d’un lieu investi par un milliardaire autochtone pour y créer un site hôtelier très original, mais bâti sur un emplacement sacré pour les Thaïlandais.
En Thaïlande, de nombreux lieux sont considérés comme sacrés : anciens cimetières, sites de culte… Pourtant, certains ont été réaménagés pour des projets immobiliers, comme l’aéroport de Bangkok Suvarnabhumi. Cependant, les plus prestigieux moines et prêtres bouddhistes prennent généralement soin de purifier ces lieux avant toute construction.
En quelque sorte, il s’agit d’une demande d’autorisation auprès des divinités afin d’éviter toute offense.
Bien entendu, si vous ne croyez pas en ces balivernes, je vous recommande d’arrêter immédiatement votre lecture, sous peine de perdre votre précieux temps.
Mais le site dont je vous parle, lui, n’a pas été purifié par les moines. Il est donc devenu maudit, et un sort y a été jeté.
Nous nous y sommes pourtant rendus et, bien que nous ayons prié à l’autel de Bouddha présent sur place, mon épouse, qui était l’investigatrice de cette épopée peu ordinaire, a eu un accident dès le lendemain, et s’est retrouvée privée de l’utilisation de ses deux bras dès le début du séjour. Rassurez-vous, pour 6 semaines seulement.
Mais l’histoire ne s’arrête pas là. Nous étions accompagnés d’un couple d’amis, et eux aussi ont été blessés quelques jours plus tard : l’une au genou, l’autre au dos.
Beaucoup diront qu’il ne s’agit que d’une coïncidence. Personnellement, je ne crois ni au hasard ni à la malchance. La vie est bien plus complexe que cela.
Quoi qu’il en soit, ce lieu est imprégné d’une vibration très particulière que chacun peut ressentir. Et même si vous vous trouvez au bord de la plage, sous les cocotiers, une étrange énergie, presque indescriptible, vous saisit et vous donne le vertige.
Pour lire la suite de l’histoire et voir les photographies, c’est par ici ….
Gunkanjima, le bateau de guerre et l’île fantôme de Hashima
Hashima est une île de Nagasaki, plus communément appelée Gunkanjima, en raison de la forme qu’elle évoque : celle d’un navire de guerre. « Gunkan » signifie « navire de guerre », et « Shima » ou « Jima », désigne une île.
L’île fut un lieu d’extraction minière qui se développa à la fin du 19e siècle et dura jusqu’aux années 70.
Au fil du temps, l’exploitation de l’île attira de plus en plus de mineurs, puis leurs femmes et enfants, ainsi que d’autres professions nécessaires au bon fonctionnement de la mine. Dans les années 50, l’île devint une ville avec une densité de population incroyablement élevée, atteignant 85 000 habitants par km² !
Aujourd’hui abandonnée depuis près de 50 ans, exposée aux intempéries redoutables de la mer de Chine orientale et aux typhons fréquents et impitoyables, l’île s’est laissée envahir par la nature.
Récemment classée au patrimoine mondial de l’UNESCO, la ville minière n’est plus accessible pour des raisons de sécurité, mais des visites sont encore possibles en petits groupes restreints dans certaines parties de l’île autorisées.
Pour lire la suite de l’histoire l’île de Hashima et voir les photographies, c’est par ici ….
À propos de la G-Lake Art Gallery du Musée d’Art de Guihu・桂湖美术馆
Le musée d’art de Guihu est situé à Fuzhou, la capitale de la province du Fujian. Il s’engage à explorer en profondeur la connotation de la culture locale du Fujian et à présenter diverses recherches universitaires et pratiques artistiques de diverses manières d’exposition. En plus de l’exposition, le musée d’art de Guihu organisera également diverses conférences spéciales, salons, ateliers et activités littéraires de mode, et est équipé de bibliothèques indépendantes, de salles de classe publiques et de cafés.
Le musée d’art soutient depuis longtemps la nouvelle génération d’artistes du Fujian et a coopéré étroitement avec les amateurs d’art locaux et les groupes culturels et ruraux. Il a également régulièrement invité des groupes artistiques, des artistes, des conservateurs, des designers et des écrivains de l’extérieur de la province du Fujian et du monde entier à réaliser des créations résidentes au Fujian. Dans le même temps, la galerie d’art favorisera également activement les échanges culturels à travers le détroit.
Images et présentation architecturale du Musée d’Art de Guihu
VARIATIONS DE LUMIÈRE OPUS 5 Triptyque photographique 2021 (33x150cm) Exemplaire #2/3 (+1 EA)
Cet opus est dans la continuité d’une réflexion qui porte sur l’essence de la lumière et ce qu’elle a comme effet sur la perception de l’Être dans son environnement immédiat ou cosmique.
La lumière me fascine par la dualité de son état, à la fois corpusculaire et ondulatoire, mais également pour tout ce qui fait d’elle, notre perception du monde.
Mes « Variations de Lumière » classées par opus, déclinent des images qui naissent de mon observation de la lumière et qui révèlent, après la prise de vue, l’écart de perception entre la réalité photographiée et l’enregistrement photographique.
Il s’agit d’une métaphore, mais je dirai que le médium de la photographie convient particulièrement à cette étude car les photons qui viennent frapper mon négatif, et matérialisés par des points d’impacts sur la couche d’émulsion de cristaux d’halogénure d’argent, ou sur le filtre passe-bas d’un capteur, décrivent bien lors de la phase de la prise de vue, le caractère corpusculaire de la lumière.
De même, cette matière utilisée comme un matériau, souligne bien le caractère ondulatoire de la lumière, lorsque ces impacts sur le négatif deviennent oscillation sur le papier.
De cette observation des photons enregistrés à un moment « T » dans leur course infinie à travers le cosmos, à un point précis de l’univers, naît cette écriture de lumière.
Variations de Lumière opus 7 | Intrication (2024) détail [cliquez sur l’image pour l’agrandir]
Ce travail est le fruit d’une réflexion développée pour un projet de trois expositions (2024〜2025) du CNFAP de l’UNESCO [Conseil National Français des Arts Plastiques] dans le cadre de son programme « Dialogues », conduit en étroite collaboration avec le CIAE [Centre de recherche sur l’art et l’environnement] de l’UPV [Université polytechnique de Valencia], deux entités dédiées à la création et à la diffusion des arts visuels.
« AVANT LA LETTRE » est le titre de la thématique de cette exposition interdisciplinaire qui exprime le concept du projet.
「 Nous voulons prendre le devant sur quelque chose qui n’est pas encore définie. L’intérêt est d’établir une relation entre ce qui est écrit et sa représentation visuelle. De même façon que les avant-gardes ont introduit les mots et la typographie en tant qu’éléments plastiques dans l’œuvre artistique. Avec cette intention, nous mettrons en rapport ce projet avec celui-là : « La narration artistique comme intégrante d’un message. Connexions entre artistes contemporains qui utilisent les mots ». Le thème de cette exposition implique l’utilisation dans l’œuvre de mots, de lettres, en tant que porteurs d’un message conceptuel ou visuel, ou bien en tant qu’élément plastique en soi, afin de transmettre un message « avant la lettre » 」 Commissaire d’Exposition
LE PROJET
L’artiste réalisera deux œuvres originales.
・Œuvre n°1 : Représentation visuelle ou conceptuelle d’un mot qui peut apparaitre écrit ou pas dans l’œuvre. Ce sera une œuvre au format libre, inspirée du thème proposé, dont la taille sera comprise entre 20 et 120 cm de hauteur et entre 20 et 70 cm de largeur. En fonction de l’espace d’exposition, cette œuvre sera exposée à côté de la deuxième ou placée séparément. Les deux œuvres formeront un ensemble cohérent.
・Œuvre n°2 : Représentation visuelle ou conceptuelle d’une lettre. Cette deuxième œuvre est au format imposé A5 dans le sens horizontal, dont l’image pourrait avoir une taille inférieure ou bien occuper toute la surface du papier. Le support sera toujours souple, comme pour la première œuvre.
La première des trois expositions aura lieu à La Casa de la Cultura José Peris Aragó dans le quartier de Alboraya à Valencia (Espagne) du 15 novembre au 13 décembre 2024
Variations de Lumière opus 7 | Intrication (2024) : Kakémono Washi Kozo 42 x 21 cm et Plexiglas A5 [cliquez sur l’image pour l’agrandir]
Cette œuvre diptyque est une installation interactive, comprenant un kakémono en papier japonais et un plexiglas transparent imprimé qui interagissent entre eux et le spectateur.
Ces deux objets pourront être disposés l’un sur l’autre, l’un à côté de l’autre, ou séparément dans l’espace.
L’intrication est le titre de cet opus 7, et signifie en mécanique quantique, je cite : « L‘intrication ou enchevêtrement quantique, est un phénomène dans lequel deux particules forment un système lié et présentent des états quantiques dépendant l’un de l’autre, quelle que soit la distance qui les sépare. »
Variations de Lumière opus 7 [cliquez sur l’image pour l’agrandir]
Variations de Lumière opus 7 [cliquez sur l’image pour l’agrandir]
L’espace mis entre les deux constituants de l’œuvre, est l’énergie qu’ils émettent entre eux, comme si nous avions d’un côté l’énergie du mot, le signifiant et le sens, puis de l’autre côté, celle de la lettre qui dans son unicité prend un autre signifié qui fait écho à celui du mot.
Dans cette installation, la lettre « O » se pose à merveille au centre du mot « CŒUR », mais aussi à n’importe quel endroit dans l’espace. C’est le spectateur qui par le simple déplacement du plexiglas, ressentira l’énergie changer à mesure que les deux composants s’éloigneront l’un de l’autre.
Dans cette installation, la polysémie ajoute une profondeur inattendue au sens du signifiant et par analogie, exprime aussi le « CHŒUR », c’est à dire le cœur architectural d’un lieu de croyance, où l’« ÊTRE », depuis les temps les plus anciens, y vient à la recherche de cette unicité avec le cosmos.
Cette installation montre aussi que la pensée, avant qu’elle ne s’exprime par la lettre et le mot, est aussi une forme d’écriture de lumière, une écriture première mais non primitive.
LE LIVRE ET LE COFFRET DE L’EXPOSITION
Un livre d’artiste a été publié, retraçant l’ensemble de l’exposition AVANT LA LETTRE. Un coffret séparé réunit, au format A5, tous les visuels des œuvres autour de la LETTRE, présentés par chaque artiste aux côtés de l’œuvre principale évoquant le MOT.
「 Éric PETR, né dans les années 60, a travaillé dans les années 80, puis au début des années 2000, sur l’image mise en mouvement dans une intention artistique à l’aide d’un appareil photographique.
Cette technique fut nommée plusieurs années plus tard « Intentional Camera Movement », reprise par les hashtags #icm ou #icmphotography et est aujourd’hui largement reprise par de nombreux jeunes photographes talentueux.
Suivant la dynamique de quelques photographes et plasticiens qui l’ont précédé, tels que Kōtarō Tanaka (1905-1995), Ernst Haas (1921-1986) et Alexey Titarenko (né en 1962) de sa génération, et quelques autres expérimentaux, PETR expérimente à son tour cette voie artistique, principalement entre 2003 et 2015. Contrairement à ses pairs, il en a fait le cœur de son travail photographique.
Depuis une dizaine d’années, PETR a créé un mouvement et une technique qui lui permettent de servir son intention et son travail de recherche sur la lumière. Cette technique, qu’il nomme [Insitu Kinetic Photography], est la base de son travail, et lui a permis de mettre en place de nombreux travaux qu’il a expérimentés, notamment dans la photographie abstraite ou la photographie d’abstraction subjective.
PETR a débuté sa carrière de photographe professionnel en 2013 après 20 ans de recherche photographique. Après avoir attiré l’attention de certains acteurs de l’art contemporain, entre 2011 et 2014 où il a assemblé une synthèse de son travail sur la lumière dans son Blog et Instagram, il a commencé en 2016 à être révélé dans certains magazines prestigieux, comme L’OEIL DE LA PHOTOGRAPHIE, à être exposé au SALON DES RÉALITÉS NOUVELLES et à être publié aux Éditions CORRIDOR ÉLÉPHANT avec sa première monographie » SPIRITUELLES ODYSSÉES « . Depuis, PETR enchaîne les publications et les expositions à Paris, et dans le monde. 」