MES MÉTAMORPHOSES | EXPO DF ART PROJECT 2022

Éric Petr | 0xD8EE0AÉric Petr | 0xA0F3F803Métamorphoses © Éric PetrMétamorphoses © Éric PetrÉric Petr | 0x10A95D04

J’ai l’honneur de montrer actuellement un récent travail à l’exposition de DF ART PROJECT au Parc Floral à PARIS du 01.10 au 10.10.22.

Le Vernissage fut un succès et a bénéficié d’une grande audience grâce à la situation géographique du lieu qui accueille les visiteurs venus au Parc Floral et d’une communication largement relayée mais aussi à la qualité des œuvres exposées.

Le DÉSTRUCTURALISME FIGURATIF expose une soixantaine d’artistes plasticiens travaillant autour de la fragmentation de la figure et réunit plusieurs médiums ; peinture, sculpture, photographie, dessin, collage, art numérique, performance et installation.

Vous pouvez venir jusqu’au lundi 10 octobre au Pavillon 18 dans la bambouseraie du Parc Floral.
Dimanche 9 octobre à 18h30 nous vous accueillons pour un FINISSAGE avec une performance de Anne Sophie LANCELIN.

Lien Google Maps : https://goo.gl/maps/Dt1kJa6aMQTBFMDw8

Les photographies que je présente sont issues de mon travail « Métamorphoses ».
En voici la description selon l’ordre du diaporama.

  • « L’apparition de Zeus » 2o21 | Photographie Nikon F3T, Nikkor Q135mm & Film Ilford 50iso
  • « La Vierge et le Démon » 2o19 | Photographie non remaniée Nikon Df, Objectif 50mm
  • « La Bête et la Belle » 2o22 | Photographie non remaniée Nikon Df, Objectif 50mm
  • « Le cri du Monde » 2o22 | Photographie non remaniée Nikon Df, Objectif 50mm
  • « Le combat des Amazones » 2o19 | Photographie non remaniée Nikon Df, Nikkor Q135mm

Les photographies sont tirées en 3 exemplaires avec une Épreuve d’Artiste. Veuillez me contacter si vous êtes intéressé(e). Merci 🙂

Blog Éric Petr

ÉRIC PETR, UNE SINGULARITÉ QUANTIQUE

Image issue de « h2o-Ray_47Ag » © Éric Petr

Éric PETR, une singularité quantique

Éric PETR s’est toujours passionné depuis sa tendre enfance pour la photographie. 

C’est avec ce médium qu’il s’exprime aujourd’hui en tant qu’artiste photographe avec une singularité qui lui est propre.

Né en Provence dans les années 60, Marseillais de cœur et de formation autodidacte, il se consacre pleinement depuis 2013 à la création d’œuvres photographiques à travers lesquelles il porte une réflexion sur l’essence de la lumière.

Habité depuis tout petit par la question de ce qui a précédé la création de l’univers, il interroge sans cesse la lumière, en ce que les particules élémentaires (photons) qui la composent, à la fois onde et/ou corpuscules, pourraient véhiculer à travers l’espace-temps des informations qui contiendraient toute l’histoire de notre univers et par conséquent notre mémoire inconsciente et collective.

La technique photographique très particulière qu’il utilise, met en lumière l’idée que notre observation imposerait certaines limites à notre perception de la réalité. Ce qui induit par-là que notre perception se trouverait augmentée par notre capacité à ressentir cette réalité indicible.

Ses travaux, Variations de Lumière, Métamorphoses, Hikari, sont autant de compositions qui empruntent la lumière comme une matière première.
Tel un chercheur, Éric PETR utilise un idiome poétique nouveau, pour réinterpréter à sa manière la physique quantique.

© Maria Héméré

UN JAPON TELLURIQUE | EXPOSITION CORRIDOR ÉLÉPHANT

Je suis très heureux de savoir mon récit photographique「地電流」à l’honneur des expositions de photographies de CORRIDOR ÉLÉPHANT !

地電流, en japonais, veut dire courant tellurique.

Ce travail photographique met en lumière le ressenti perçu, lorsqu’on vit au Japon, de ces forces énigmatiques qui font l’identité de la culture japonaise.
Je mets en relation cette sourde énergie tellurique avec des images qui répondent à certaines de ces vibrations comme s’il s’agissait, en quelque sorte, d’une échographie topologique.

Voir l’exposition 地電流 de Corridor Éléphant
https://www.corridorelephant.com/expositions/eric-petr

地電流 2o18 | Érection d'un demiurge dans les cieux de Tōkyō © Éric Petr
地電流 2o18 | Érection d’un demiurge dans les cieux de Tōkyō © Éric Petr

PROCESSION DE LA VIERGE NOIRE À L’ABBAYE SAINT-VICTOR

Éric Petr | 0x88C22C01
Procession de la Vierge Noire 2o18 © Éric Petr

Il y a presque quatre ans, à cette même date, je me conditionnai à me lever en pleine nuit pour assister le vendredi 2 février 2018, jour de pleine lune, à la Procession de la Vierge Noire, du Vieux Port à l’Abbaye Saint-Victor de Marseille.
Il n’y a que les événements comme ceux-ci qui me donnent la force de braver le sommeil profond.

Embarqué de mon Nikon Df assujetti de ses objectifs en cul de bouteille que j’adore au grand dam de tous les photographes sensés, me voici à 4 heures du matin projeté sur le Vieux Port sous l’ombrière de Norman Foster qui à cette heure-ci de la nuit n’aura de bienfait que de me protéger du vol des gabians moqueurs, aux aguets du retour des pêcheurs avec leurs pointus remplis de rascasses.

Mais déjà, le monde afflue de toutes parts et des centaines de flambeaux illuminent le port dont la chaleur qui en émane me fait déjà oublier la fatigue matinale. L’ambiance est fervente et une joie inexprimable irradie le lieu qui devient théâtre de foi et comme une fête, la foule enfiévrée s’exalte.

Soudain, tout au loin, une étrange vibration nous parvient comme une rumeur venue du berceau de l’Afrique. Un bateau, et à son bord, la Vierge Noire. Puissante énergie qui au fur et à mesure embrase la foule et métamorphose ce lieu de pêcheurs en un lieu de croyance et d’amour.

Je saisis alors mon appareil photographique et me laisse porter sur ces vagues d’une incroyable force. Je m’abandonne à ce flot interminable et parmi cet essaim de fidèles, l’esprit happé par cette énergie insaisissable, je tourbillonne et clique sans savoir mais dans une inspiration toujours créatrice. Je ne pense plus, je ne fais plus qu’un avec la foule, la Vierge Noire, les flambeaux, Marseille, l’air marin, l’embrasement. C’est beau, puissant et enivrant !

La suite en images avec ce récit photographique qui raconte cette procession.
Je vous en souhaite une très belle lecture qui sera rendue plus confortable si vous cliquez sur [Ctrl] et [+] jusqu’à obtenir une image suffisamment agrandie.

ÉLÉPHANT IN THE ROOM 2021 | LE DÉSORDRE

Festival The Éléphant in the Room 2021

Le Festival ELEPHANT IN THE ROOM est une manifestation photographique organisée par Corridor Éléphant, Vanda Spengler, la Revue TK21 et LeStudio Club Arty à Paris.

Cette première manifestation prendra les couleurs du « Désordre » sous lesquelles 45 photographes exposeront pendant 15 jours à LeStudio Club Arty à Paris 9e, en septembre 2021.

Cet événement photographique sera ponctué par 3 soirées au cours desquelles, lectures de portfolio, rencontres, tables rondes et performances ponctueront cette fête dans un joyeux désordre. 

L’exposition et les événements sont gratuits mais vous devrez malgré tout réserver votre créneau horaire sur le site de Corridor Éléphant si vous êtes intéressé par la lecture de votre portfolio.

www.corridorelephant.com

Je présenterai « Matière 0xA2C2B » sélectionnée pour cette exposition sur la thématique du DÉSORDRE.

Expostion Le Désordre 2021 © Éric Petr

Titre : Matière 0xA2C2B
Année : 2020
Photographie [24x36cm] #1/6
d’après film Ilford HP5 400 iso 
Tirage avec encres pigmentaires sur Papier Fine Art Hahnemühle 310g
Cadre/boîte en bois de ramin teint à l’encre de chine et verre musée [33x45cm]

Qu’est-ce que le désordre pour vous ?

« Si le désordre, dans son sens chaotique, représente un état d’amalgame de matière indifférenciée préexistant à la lumière, il est alors l’état qui précède la création. 
La création, tout comme l’ordre, serait alors la valeur positive du désordre, ce qui sous-tendrait qu’il ne peut y avoir ordre sans, au préalable, désordre. »

EXPOSITION NUIT RADIEUSE | LE CORBUSIER

zzb Nuit Radieuse | Éric Petr
Nuit radieuse | 0x1853BD01 © Éric Petr, 2o2o

Mercredi 19 mai 2021
À La Cité Radieuse de Marseille
Réouverture du Restaurant Le Ventre de l’Architecte 
& Opening de l’exposition Nuit radieuse de Éric Petr

L’hôtel et restaurant Le Corbusier à Marseille remettra les fourneaux de sa cuisine gastronomique en marche, mercredi 19 mai à partir de 12h.  Celles et ceux qui souhaitent prolonger ce doux moment de liberté retrouvée au-delà de 21h, pourront se soustraire à la règle du couvre-feu en réservant une des magnifiques chambres de l’hôtel et se plonger dans une nuit très vintage dans le pur jus de
Le Corbusier. En effet, si les restaurants devront attendre le 9 juin pour rouvrir leur salle, les hôtels pourvus d’une restauration pourront quant à eux servir en salle dès le 19 mai. 

Pour mettre en couleur cet événement tant attendu par tous, Dominique Gerardin, la propriétaire de ce lieu magique, m’a invité à présenter un travail photographique réalisé depuis La Cité Radieuse d’où j’ai enregistré l’âme de ma ville, au cours d’une nuit d’évasion passée dans l’hôtel Le Corbusier. 

« L’enregistrement des vibrations de la ville restitue un spectre non visible et témoigne de l’extraordinaire pour raconter une rêverie retranscrite dans un idiome visuel où l’on aperçoit en filigrane dans les interstices des signes, l’indicible beauté de Marseille plongée dans son sommeil. » Éric Petr

Je vous invite à lire le très bel article paru dans Canoline Criticks, Revue d’Art Contemporain qui met en lumière « Nuit radieuse »

Eric Petr, Nuit radieuse, récit photographique

DIFFRACTIONS

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光 0x3877BF03 © Éric Petr, 2017

Dans mes images, la matière visuelle est redéfinie, les objets sont décomposés pour être réassemblés selon des volumes et des plans complexes, redonnant une nouvelle conception de notre vision du monde.

Pablo Picasso changeait par son regard expressif, la perception des objets et l’espace qui nous entoure pour surprendre et interroger le spectateur.

À ma façon, je recompose notre perception du monde en une retranscription des informations ressenties dans un langage fait de matière visuelle.

Les vibrations ou les impressions que je ressens en certains lieux sublimes, sont capturées par le prisme (ou le pentaprisme) de mon appareil photographique pour prendre forme dans le champ de notre perception visuelle, tout comme les ondes lumineuses (cette matière informe de particules élémentaires) qui passent à travers le sténopé d’une boîte noire pour prendre forme à nos yeux par leur simple diffraction.

En quelque sorte, il s’agit de suggérer au lecteur de ressentir ce qui est, plus que de voir ce qui était.

A priori, la lecture ne semble pas directe mais au fur et à mesure que l’on découvre mes images, on trouve petit à petit les clés nécessaires à leur lisibilité et leur compréhension.

Dans une époque où l’on a besoin de comprendre tout immédiatement, où le temps rythme et ordonne nos émotions, l’intemporalité de mes photographies presse l’observateur à s’arrêter, à suspendre son temps, à faire abstraction de son quotidien pour pénétrer les multiples strates de mes images et libérer son subconscient.

RÉALITÉS NOUVELLES 2019 | SHENYANG CHINE

ABSTRACTIONS | 抽象
Musée de LAFA|鲁迅美术学院美术馆

Département des Beaux Arts | Shenyang, Chine & Réalités Nouvelles
Commissaire d’exposition : Xi ZHEN
23 septembre 〜 7 octobre 2019

Vernissage lundi 23 septembre à 15:30

Je suis heureux de participer à cette exposition où je présenterai « Ô Fujisan » polyptyque.

À propos de Ô Fujisan

Blog Ô_Fujisan polyptyk
Polyptyque Ô Fujisan 2018 © Éric Petr

INTENTION ET NON-INTENTION | 1905 ART SPACE

Blog Expo Espace 1905 Shenyang Chine

INTENTION ET NON-INTENTION
1905 ART SPACE|法国新现实主义协会艺术家群展「有意·无意」

Galerie 1905 | Shenyang, Chine
Exposition « hors les murs » de  ]RN structure[

13 juillet 〜 7 octobre 2019

Je suis heureux de participer à cette exposition où je présenterai mon octoptyque « variations de Lumière opus 1 »

A propos de mon œuvre photographique exposée 

Blog VdL op1 Octoptyk PS
Variations de Lumière opus n° 1 © Éric Petr (2017)

EXPOSITION INTENTION NON INTENTION
Hors-les-murs SHENYANG 沈阳 – Réalités Nouvelles

Exhibition Intention Non-Intention, Galerie 1905 – 文化创意园 Réalités Nouvelles Hors-les-murs Shenyang — à 沈阳 (ShenYang City) Académie des Beaux-Arts Luxun – 鲁迅美术学院 Curated by Xi Zhen. 13 Juillet – 7 Octobre 2019

www.realitesnouvelles.org

L’ŒIL DE LA PHOTOGRAPHIE | INTERVIEW

L'Œil de la photographie

Éric Petr, un coup de cœur de l’Éléphant

Éric Petr est un artiste-photographe français, né en 1961. Il vit à Marseille et promène son appareil photo, en toute discrétion, en des lieux publics et sacrés. Ses photographies éblouissent, émerveillent par leur beauté, le jeune enfant ; elles subjuguent, étonnent l’admirateur averti. Éric Petr, à 7 ans, était un précoce et talentueux « déclencheur ». Cet auteur est resté sans maître et humble. Ses photos, variations de lumière, résument ce qu’est la vie : fragilité et grandeur.

www.loeildelaphotographie.com

Interview

Comment définiriez-vous votre photographie ?

Ma photographie est une réflexion sur l’essence de la lumière. Elle questionne sur ce que l’observation imposerait certaines limites à notre perception du réel. Elle montre la fragilité et la beauté de la vie.

Pourquoi avoir choisi la photographie ?

Je ne l’ai pas choisie, elle s’est imposée à moi comme si dans ma mémoire subconsciente quelque chose m’avait toujours relié à elle.
Quand je regarde dans l’œil de mon reflex, une distance avec le monde se produit et cette distance est celle qui me donne le recul nécessaire pour me sentir en phase avec ce monde.
Depuis que j’ai regardé, tout jeune, à travers le viseur du 6×9 que m’avait prêté mon père, j’ai été fasciné par cette ambiguïté éprouvée à être tour à tour observateur et acteur de son observation.
La photographie est pour moi le moyen de libérer une écriture inconsciente, dominée par une pulsion instinctive, l’inspiration.

Comment êtes-vous arrivé à ce type d’images ?

C’est un long parcours mais, quand j’y pense finalement, tout est assez cohérent.
J’ai toujours eu le désir d’écrire la trace invisible de l’interconnexion des éléments de l’univers et la relation qui nous lie avec eux.

Avec quel matériel travaillez-vous ? Pourriez-vous expliquer votre technique ?

Je travaille essentiellement avec un Nikon F3 et un Nikon Df donc, avec l’argentique et le numérique.
Je n’utilise jamais de zoom pour préférer les vieux objectifs qui ont une âme et avec lesquels je ressens une belle énergie.
Je n’utilise pas de programme, je suis toujours en mode B (Bulb) et je n’utilise jamais le mode de mise au point automatique. La sophistication des appareils modernes me gêne et m’ennuie plutôt qu’autre chose.
J’ai un peu l’impression, lorsque je me retrouve avec de vrais photographes, de faire partie d’un monde qui n’existe plus.
Mais dans un sens, comme mes photos parlent d’intemporalité, ça leur va bien.

Vos séries sont-elles réfléchies avant la prise de vue ? Si oui comment naissent-elles ? Si non, comment naît la série ?

Dans mon esprit, mon négatif est la toile du peintre et la lumière, son pinceau. Dans la problématique posée, le rai de lumière est fixe ; c’est l’appareil qui doit être mobile. Comme si le peintre devait bouger sa toile pour peindre avec un pinceau fixé au mur. C’est ainsi que je photographie.

Je vais donc composer mes couleurs, dessiner mes formes, mettre en vibration des lueurs que j’extrais de lieux éternels et chargés d’une énergie particulière, pour écrire des histoires célestes de ce pinceau de lumière.
La question que je pose ici : qui tient ce pinceau ?
Ne serait-ce pas celui qui se trouve derrière la lumière, justement ? Cette connaissance qui précède la lumière ? Cet espace qui voit ce que voit la lumière ? Cet instant qui précède le Big Bang ? Ce trou noir qui renferme les secrets de l’univers et qui nous sont délivrés, sous la forme d’une écriture codée et poétique, sur ma pellicule ?

Mes séries sont toutes issues de cette même réflexion : la représentation de corps célestes, invisibles dans notre système en, seulement, trois dimensions.
Chaque série montre une dimension différente de ces corps.
Pour mieux comprendre, imaginons un volume suspendu dans l’espace. Imaginons également que nous projetions une source de lumière sur ce corps. Nous obtiendrions alors des formes réfléchies par la lumière, sur un mur opposé, de différentes structures, selon que la source d’éclairage est d’un côté ou de l’autre du volume. Les différentes images projetées de ce corps donneront une lecture multiple de ce qu’il est réellement. Pour autant, aucune des formes projetées ne sera inexacte, ni même exacte. C’est uniquement la multiplicité en série de ces formes projetées qui apportera une définition plus précise des caractéristiques du volume éclairé.
Mes séries fonctionnent comme ces projections. Chaque série montrera une seule dimension de l’univers mais l’ensemble de mes séries apportera autant de facettes que l’univers a de dimensions.

Qu’est-ce qu’une photographie réussie ?

Une photographie réussie est une photographie qui traversera les temps sans jamais livrer son mystère. C’est son intemporalité qui fera d’elle son éternelle contemporanéité.

Qu’aimeriez-vous photographier que vous n’avez pas encore fait ?

Mon rêve serait de photographier ce qui précède le Big Bang, juste pour me rassurer et me dire que notre univers n’est qu’une fraction d’étincelle dans un monde perpétuellement en mouvement et non pas un monde figé dans une parenthèse, un monde sans père.

Que vous inspire le figuratif ?

Le figuratif fixe les éléments. Il nous assure que nous sommes.
Il nous rassure au sens que ce que nous pouvons voir, est. Il crée une image figée de notre présent. Cette image prend une dimension atemporelle à travers laquelle notre esprit peut voyager dans l’espace-temps de notre imaginaire.

L’Œil de la photographie, Avril 2017