NUIT BLANCHE À MÉMOIRE DE L’AVENIR | 02-10-2021

Visuel : Cerqueira

NUIT BLANCHE
Samedi  2 Octobre 2021
de 18h à Minuit

MÉMOIRE DE L’AVENIR
45-47 rue Ramponeau PARIS 20e
M° Belleville [L2 – 11]
www.memoire-a-venir.org

Le FINISSAGE de l’exposition
ITINÉRANCES DE L’ÊTRE 
sera honoré SAMEDI 2 OCTOBRE 
par une NUIT BLANCHE [18H 〜 Minuit] 🎉   
SUIVEZ LE PROGRAMME . . .

Cécile Bouillot

PERFORMANCE à 18H et 18H30
Cecile Bouillot
Poèmes de rue et gestes du quotidien
Textes : Cécile Bouillot
Musique : Brigande

Cécile Bouillot livrera deux performances autour de son dernier projet dans lequel elle met en scène des phrases capturées dans la rue depuis 2020, ponctuées d’interludes autour de gestes du quotidien mis en musique par Brigande. Par le prisme d’une narration kaléidoscopique, faite du matériau de l’ordinaire, Cécile Bouillot propose avec humour et poésie de nous confronter au gazouillement du monde, sans chercher à le faire comprendre ou à le transformer.

The (un)veiled Gaze | Lamozé

INSTALLATION : 19H-00H
Lamozé
The (un)veiled Gaze
Installation interactive, tactile et sonore

Sélectionnée dans le cadre des projets associés à la NUIT BLANCHE « The (un)veiled Gaze » est une œuvre qui propose d’interroger le phénomène neurologique de la synesthésie pour questionner ce qui anime notre appréhension de l’environnement. Il nous invite, par le geste et le toucher à découvrir un paysage sonore dont l’image d’un corps humain constitue à la fois le véhicule et la géographie.

Eric Petr « 0xC018DA04 » • Photographie numérique sur dibond • 60 x 90 cm • 2015

EXPOSITION : jusqu’à MinuitITINÉRANCES DE L’ÊTRE vol.2

Principalement liées au temps, aux corps et à leurs métamorphoses, les œuvres présentées se font l’écho des cheminements de l’être, tant mentaux que physiques, autour des pulsions de désirs, de craintes, de vie et de mort.
L’exposition collective avec : 
Adèle Bessy / Adrien Conrad / Brno Del Zou / Eric Petr / Gregory Dreyfus / Juliette Frescaline / Marie-Christine Palombit / Suzanne Larrieu / Yohan Blanco

Je présente pour cette exposition « Itinérances de l’être » des photographies issues de ma théma « Métamorphoses ».Métamorphoses, ce sont des corps en dilatation tels des éthers flottant, qui se dessinent en de volumes complexes et déstructurés que l’image restitue au regard comme une possible réalité. Des corps qui n’appartiennent ni au temps, ni à l’espace, ni à notre monde mais qui ne sont qu’agrégats de matière, d’ondes et de particules élémentaires en perpétuel mouvement, pour se figer à un instant T sur mon négatif ou mon capteur.
Métamorphoses, serait une photographie de l’expansion de l’univers, à un point précis de sa trajectoire, où des spectres prendraient des formes aléatoires et reconnaissables contenant la mnémique du cosmos.
Mon écriture photographique est directe ; elle naît de la rencontre d’un instant fixé sur le fil de l’intemporalité entre l’homme et l’univers.

ITINÉRANCE DE L’ÊTRE | MÉMOIRE DE L’AVENIR

Titre : 0xA8F26E02 [60x90cm] #3/3   © Éric Petr, 2016

ITINÉRANCES DE L’ÊTRE vol.2
04.09 – 02.10.2021

MÉMOIRE DE L’AVENIR
45/47 rue Ramponeau Paris 20e   
M° Belleville [L2 – 11]

Ouverture du mardi au samedi 11h – 19h
www.memoire-a-venir.org

9 artistes sont exposés : Adèle Bessy / Adrien Conrad / Brno Del Zou / Eric Petr / Gregory Dreyfus / Juliette Frescaline / Marie-Christine Palombit / Suzanne Larrieu / Yohan Blanco

Mémoire de l’Avenir invite, pour deux expositions consécutives, le collectif artistique international DF Art Project, qui regroupe des artistes partageant une recherche plastique commune, autour de la fragmentation du réel, sa mise en perspective, sa distorsion et/ou sa transformation dynamique.
Les artistes du collectif interrogent autant le sujet que le médium, à travers des projets plastiques, photographiques, sculpturaux, performatifs, ou vidéo.

Texte : Mémoire de l’Avenir 

Mes photographies exposées sont, elles, issues de ma thématique « Métamorphoses ». 
Métamorphoses, ce sont des corps en dilatation tels des éthers flottant, qui se dessinent en de volumes complexes et déstructurés que l’image restitue au regard comme une possible réalité. Des corps qui n’appartiennent ni au temps, ni à l’espace, ni à notre monde mais qui ne sont qu’agrégats de matière, d’ondes et de particules élémentaires en perpétuel mouvement, pour se figer à un instant T sur mon négatif ou mon capteur.
Métamorphoses, serait une photographie de l’expansion de l’univers, à un point précis de sa trajectoire, où des spectres prendraient des formes aléatoires et reconnaissables contenant la mnémique du cosmos.
Mon écriture photographique est directe ; elle naît de la rencontre d’un instant fixé sur le fil de l’intemporalité entre l’homme et l’univers.